J'attends ma porte-patio depuis 2 semaines. Je fais affaire avec une entreprise qui m'offre un service *?&!@$#?$. Pas de retour d'appel, délais non respectés, on me transfère d'une personne à une autre . . . ouf! que d'énergie à déployer. J'arrive enfin à m'entendre avec la patron de la place pour me faire livrer ma marchandise demain 8 heures. Toutefois, je dois leur payer la facture avant la livraison. Quoique cette démarche ne me plaît guère, j'accepte de donner les coordonnées de ma carte VISA par téléphone avant la livraison. Un problème survient et on doit me rappeler. Tout cela pour me faire dire «Écoutez madame, la tite machine de crédit a fait beaucoup de transactions aujourd'hui, elle est pleine et on ne peut prendre votre transaction. Vous devrez passer en magasin pour payer, et on ne pourra vous livrer la porte avant cela. Donc, oubliez votre livraison de 8 heures demain matin».
Alors, je réponds:
«Écoutez là, c'est pas une question de «tite machine» qui est pleine, mais c'est bien la «tite madame» qui est pleine. Elle n'en prend plus, elle aussi. Depuis 2 semaines que je dois avoir ma porte, que je retarde les travaux pour cela. Nous avons trouvé un arrangement de livraison pour demain matin et je dois absolument l'avoir.»
J'en ai ajouté; je ne me souviens plus texto ce que j'ai dit, mais ce n'était pas très poli. Ils ont pris mon numéro, sans rouspéter, et je devrais recevoir ma porte demain à 8 heures. À 8 heures. Vous pouvez être certains que je ne ferai pas la grasse matinée demain.
À suivre
vendredi 15 juin 2007
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